Why are you writing Justin?

Why are you writing Justin ????‍♂️?

Maybe I’m writing because I’m struggling to connect with the outside world.

I’m surprised every day that I’m so disciplined about publishing #DailyNotes (today, I’m at the 282nd in a row). I can say that it’s one of the things I’ve done most regularly over the last ten months.

But one might wonder why I’ve been doing it for so long. I partially answered this question at the beginning. But the further I go, the more I realize that there could be other hidden reasons.

One of them may be that I’m writing here what I can’t say. What I can’t get out in my daily life.

Communication: this is clearly something I want to work on more. I put a lot of effort into it, and I am (more or less) satisfied with the results ????.


Image by Evan Denis on Unsplash.

To be able to call our lost things

To be able to call our lost things.

Do you also sometimes look for an object for a very long time and finally find it in a harmless or totally banal place? It can be a key, a wallet, a pen, etc…

It happens to me. Too much ????. And in these situations, I think it would be cool if we could call these objects, and they would ring. Kind of like a phone. I know, I know, I’m still getting weird ideas.

For other super useful apps, you can read this article I wrote last March.


Photo by Negative Space from Pexels.

The burning head

The burning head.

Those days when you finish work, and your head’s all on fire. Your head’s on fire.

Then you know it’s time to take a break and get some rest.


Photo by Min An from Pexels.

La malédiction de la connaissance

La malédiction de la connaissance.

Dans une note précédente, je mentionnais la « bulle » dans laquelle on peut se retrouver au fur et à mesure qu’on se spécialise dans une discipline. Une telle situation peut amener à supposer un niveau de connaissances / d’informations de nos interlocuteurs qui est biaisé.

Je suis tombé hier sur une expression qui illustre très bien cet état de choses: La malédiction de la connaissance. J’ai trouvé cette expression dans ce guide sur comment écrire de la documentation par l’équipe de Vue.js.

D’après Wikipédia:

La malédiction de la connaissance (en anglais curse of knowledge) est un biais cognitif qui survient lorsqu’une personne, communiquant avec d’autres personnes, suppose inconsciemment que les autres ont les mêmes connaissances pour comprendre.

Par exemple, dans une salle de classe, les enseignants peuvent avoir de la difficulté pour enseigner à des novices car ils ne peuvent pas se mettre à la place de l’étudiant. Un brillant professeur ne se souvient plus des difficultés qu’un jeune étudiant rencontre lors de l’apprentissage d’une nouvelle matière.

Wikipédia – Malédiction de la connaissance.

Après des discussions récentes avec des personnes qui ne sont pas de mon domaine, je me suis rendu compte que j’étais en plein dans ce biais là. Et pas qu’un peu.

C’est donc de mon devoir (et de celui de toute personne) de se détacher de cette « malédiction ». La méthode la plus aisée que j’ai trouvée pour faire cela, c’est demander. Demander. Ne pas supposer, mais demander.

On Science, WordPress and Life

Quand je créais la première version de ce site segbedji.com, la description que je lui ai donné, c’était: On Science, WordPress and Life.

Ça reflète bien quel type de contenus je voulais principalement produire. Aujourd’hui, le site est plus orienté vers mes activités de freelance. Mais grâce aux #DailyNotes, j’ai pu aborder régulièrement ces sujets qui me tiennent à cœur.

Voilà un petit récap des 277 notes quotidiennes que j’ai écrites.

africa (5) agounisbae (2) ai (2) best practices (12) book (2) contribution (7) defi30joursecriture (29) Development (2) e2e-testing (2) family (2) food (4) good vibes (2) happiness (26) health (11) i don't know (2) internet (13) je déconne (4) languages (7) lecture (2) libre accès (4) life (10) music (13) open access (2) open science (3) personal (102) personnel (70) photo (16) privacy (5) productivity (17) productivité (6) reading (3) relations humaines (17) santé (5) scholarly publishing (2) science ouverte (5) société (2) software engineering (2) talent (2) tools (7) travail (11) video (6) woocommerce (2) wordpress (43) work (65) writing (11)

Est ce que les autres apprécient ?

Ce soir, je suis sorti faire des achats dans une boutique près de ma maison. La personne s’occupant de la boutique était une jeune fille.

Il y avait deux personnes qui sont venues un peu après moi, et qui apparemment voulaient acheter beaucoup d’articles. Ces deux personnes parlaient en élevant fort la voix, criaient presque sur la vendeuse; et visiblement, gênaient les autres clients.

Et ils justifiaient leur attitude autoritaire par le fait qu’ils font plus d’achats que les autres clients, et que cela leur donnait le droit d’agir ainsi.

A mon avis, la vendeuse n’a pas apprécié leur comportement. Mais elle n’en a rien dit. Je suppose parce que « le client est roi » comme on dit.

Ce que je me demande, c’est est ce que ces deux personnes savent que la vendeuse n’a pas apprécié leur comportement ? Est ce qu’ils savent qu’ils la mettent dans une situation où elle ne pourra pas manifester son mécontentement, et sera obligée de les supporter ? Pour eux, il n’y a peut être pas de mauvaise intention derrière, mais il n’en demeure pas moins que c’est une situation que la vendeuse aurait préféré éviter.

En y réfléchissant, je me rends compte qu’il m’est possiblement arrivé d’agir ainsi. Et je suis coupable pour ça. Que je l’ai fait inconsciemment ou pas.

Il faut que l’on (moi y compris évidemment) puisse comprendre que nos actes affectent notre entourage. Positivement ou négativement. Et agir de façon correcte.

Le CSS peut être super intéressant

Le CSS peut être super intéressant.

Ces derniers mois, dans le cadre de mon travail, j’ai eu à beaucoup utiliser le CSS. C’est fou tout ce qu’on peu faire avec ce langage de feuille de style.

Il suffit juste de fouiller, d’expérimenter, de réessayer. On finit par tomber sur des choses qu’on ne connait pas, faire des découvertes intéressantes.

Passion has to go somewhere

I wrote this note in French yesterday. I really enjoyed reading it again, so I’m putting it in English for today’s #DailyNotes.

Basically, it’s a text that I found in my notes that are three years old. I had just experienced my first love disappointment ????.

While writing this note in English, and some Google searches afterwards, I just saw that some of the sentences in this note come from the romantic comedy « 5 to 7 ». I’m going to watch it again.


The few lines you want to write when you’re happy become a long novel as soon as misfortune strikes you.

Passion has to go somewhere, and it can only go there. Your suffering has to serve a purpose.

A thousand years ago, someone invented the concept of the impermanence of beauty and the inevitability of change. I bet he’d just been dumped.

It took me a long time to analyze the value of memory; and just because something doesn’t last forever, doesn’t mean its value in itself diminishes. Maybe it was just a rationalization, sweeter to the soul than would have been the grieving, the not living of life. Honestly, I don’t know.

But I choose to believe in memory. I chose to believe in it. I chose to believe that the bond had never been broken, and that we each existed in each other’s hearts as a secret singularity.

She had made me a dreamer. She had melted my fears. There would be other loves, even, great loves. But she was right: only one of them was perfect.

I remember you everyday.

Justin Ahinon

Il faut bien que la passion aille quelque part

Il faut bien que la passion aille quelque part, et elle ne peut plus aller que là. Votre souffrance doit servir à quelque chose.

Auteur: Je sais pas. ????

Alors, j’ai retrouvé la suite des notes que j’avais commencé ici. Je vais donc les poster en entier. Pour rappel, j’ai retrouvé ce texte dans mes notes qui datent d’il y a un peu plus de trois ans.

J’ai maintenant totalement le contexte dans lequel j’ai écrit ces notes: je venais de subir ma première déception amoureuse ????.


Le peu de lignes qu’on a envie d’écrire quand on est heureux devient un roman fleuve dès que le malheur vous frappe.

Il faut bien que la passion aille quelque part, et elle ne peut plus aller que là. Votre souffrance doit servir à quelque chose.

Il y a mille ans , quelqu’un a inventé le concept de l’impermanence de la beauté et et l’inévitabilité du changement. Je parie qu’il venait juste de se faire plaquer.

J’ai mis du temps à analyser la valeur de la mémoire; et le fait qu’une chose ne dure pas toujours, ne signifie pas que sa valeur en soi diminue. Ce n’était peut-être qu’une rationalisation, plus douce à l’âme que ne l’aurait été le deuil, le non vécu de la vie. Sincèrement, je n’en sais rien.

Mais j’ai choisi de croire en la mémoire. J’ai choisi de croire en elle. J’ai choisi de croire que le lien n’avait jamais été rompu, et que nous existions chacun dans le cœur de l’autre, comme une singularité secrète.

Elle avait fait de moi un rêveur. Elle avait fait fondre mes craintes. Il y aurait d’autres amours, même, de grands amours. Mais elle avait raison: seul l’un d’entre eux, était parfait.

I remember you everyday.

Justin Ahinon

Pourquoi fuir le bonheur ?

Pourquoi fuir le bonheur ?

Parfois, des choses bien arrivent dans nos vies. Mais il arrivent qu’on soit si pessimistes (????‍♂️), qu’on les rejette inconsciemment.

Avec entre autres pour raison qu’on veut s’épargner la souffrance quand ça se passerait mal. Mais, comment savoir que ça se passera mal ou pas sans avoir essayé ? Pourquoi fuir le bonheur ?