Je crois que j’en ai déjà parlé une fois ici. En terme de culture musicale, je suis vraiment à la ramasse.
Cette semaine j’ai découvert (enfin écouté pour la première fois plutôt) un artiste rappeur béninois que j’aurais normalement dû connaître depuis. Vue la qualité de sa dernière production.
Je vous laisse plutôt découvrir par vous même.
Image mise en avant par Stas Knop provenant de Pexels
La dernière fois qu’on a parlé avec Djamile, il m’a dit:
Je rêve de devenir le Davido du slam.
23H26. Je suis en route pour la maison. Je viens de subir environ 4H de surcharge d’émotions et de plaisir.
Ce soir, c’était le concert de Djamile Mama Gao à Africa Sound City.
Je suis encore sous le choc, je ne peux écrire grand chose maintenant. Je copie donc ici les notes que j’ai prises sur Keep durant le concert. Elles résument assez bien mon état d’esprit.
Djamile nous a fait découvrir une autre dimension du slam ce soir. Le slam qu’on ne connaissait pas. Le slam joyeux, le slam dansant, le slam emportant.
Comme on s’y attendait, on a eu droit à des textes profonds, aigus, tranchants, poignants.
On est passé d’une émotion à une autre. De la mélancolie à la joie.
Djamile rêve de devenir le Davido du slam. Il nous a montré qu’il a suffisamment de tripes pour réaliser ce rêve.
On savait déjà que l’album de Djamile est génial, mais il faut le voir sur scène pour comprendre.
Pour la #DailyNote d’aujourd’hui, j’avais prévu continuer avec les travaux que je fais pour optimiser mon site mais je ne pouvais tout simplement pas attendre.