The new Ipsum

Yesterday’s one was generated in French. It is now the turn of the English version of the new ipsum to be generated. You’ll see, you’ll be rather surprised by the results.


The crew had undoubtedly had time to leave her. But could they have reached land, which was three hundred miles off? Could a frail boat live on a sea like that which had rocked the ‘Great Eastern’ so frightfully? And when could this catastrophe have happened? It was evident that the shipwreck had taken place farther west, for the wind and waves must have driven the hull far out of her course. These questions were destined to remain unanswered.

It is an immense depression of the land filled with water, in fact nothing more than a hole, the depth of which allows it to receive ships of the heaviest tonnage, such as the ‘Great Eastern,’ to which almost every other port in the world is closed. Thanks to this natural condition, the streams of the Thames and the Mersey have seen two immense commercial cities, London and Liverpool, built almost at their mouths, and from a similar cause has Glasgow arisen on the Clyde.

A merchant-vessel or a man-of-war would have had no hesitation in manning this hull which, undoubtedly, contained a valuable cargo. But as the ‘Great Eastern’ was on regular service, she could not take this waif in tow for so many hundreds of miles; it was equally impossible to return and take it to the nearest port.

The spectators hurried towards the unfortunate men, the wounded were taken to the hospital at the stern; as for the four already dead, preparations were immediately made to send them on shore: so lightly do Anglo-Saxons regard death. That this event made very little impression on board. These unhappy men, killed and wounded, were only tools, which could be replaced at very little expense. The tender, already some distance off, was hailed, and in a few minutes she was alongside.

I said that the length of the ‘Great Eastern’ exceeded two hectometres. For the benefit of those partial to comparisons, I will add that it is a third longer than the ‘Pont des Arts;’ in reality this steam-ship measures 673 feet at the load water-line, between the perpendiculars; the upper deck is 680 feet from stem to stern; that is to say, its length is double that of the largest transatlantic steamers; its width amidships is about 71 feet, and behind the paddles about 107 feet.

Le nouvel Ipsum

Vous savez, hier, je vous parlais du Lorem Ipsum dans ma note quotidienne. C’était totalement intentionnel parce que j’ai prévu juste après d’écrire sur le nouvel ipsum.

Un truc avec le lorem ipsum par défaut, c’est qu’il peut vraiment être ennuyant. Oui, qui comprend cette suite de mots en latins ordonnés aléatoirement ? Enfin, à part les personnes qui parlent latin bien sûr (j’ai toujours voulu comprendre cette langue).

Donc il m’arrive régulièrement de faire des recherches sur des alternatives à l’ipsum traditionnel. Je suis donc tombé plutôt récemment sur ipsum.one (https://www.ipsum.one), un site qui propose de générer du texte aléatoire, mais censé, et en deux langues, le Français et l’Anglais.

Et le résultat est plutôt surprenant. Le texte obtenu est plutôt cohérent.

Du coup, je vais poster quelques générations de ipsum.one dans mes prochaines notes, histoire de vous montrer.

Premier essai du nouvel ipsum

Dans ma note d’hier, je parlais du site ipsum.one qui permet de générer du texte aléatoire dans le style Lorem Ipsum, mais sensé. Comme promis, je fais un essai aujourd’hui avec une génération d’un court texte, de quelques paragraphes.


Qui commandera la garde d’honneur ? M. de Rênal vit tout de suite combien il importait, dans l’intérêt des maisons sujettes à reculer, que M. de Moirod eût ce commandement. Cela pouvait faire titre pour la place de premier adjoint. Il n’y avait rien à dire à la dévotion de M. de Moirod, elle était au-dessus de toute comparaison, mais jamais il n’avait monté à cheval. C’était un homme de trente-six ans, timide de toutes les façons, et qui craignait également les chutes et le ridicule.

Rapporter du revenu est la raison qui décide de tout dans cette petite ville qui vous semblait si jolie. L’étranger qui arrive, séduit par la beauté des fraîches et profondes vallées qui l’entourent, s’imagine d’abord que ses habitants sont sensibles au beau ; ils ne parlent que trop souvent de la beauté de leur pays : on ne peut pas nier qu’ils n’en fassent grand cas ; mais c’est parce qu’elle attire quelques étrangers dont l’argent enrichit les aubergistes, ce qui, par le mécanisme de l’octroi, rapporte du revenu à la ville.

Le trois septembre, à dix heures du soir, un gendarme réveilla tout Verrières en montant la grande rue au galop ; il apportait la nouvelle que Sa Majesté le roi de arrivait le dimanche suivant, et l’on était au mardi. Le préfet autorisait, c’est-à-dire demandait la formation d’une garde d’honneur ; il fallait déployer toute la pompe possible. Une estafette fut expédiée à Vergy. M. de Rênal arriva dans la nuit, et trouva toute la ville en émoi. Chacun avait ses prétentions ; les moins affairés louaient des balcons pour voir l’entrée du roi.

Aucune hypocrisie ne venait altérer la pureté de cette âme naïve, égarée par une passion qu’elle n’avait jamais éprouvée. Elle était trompée, mais à son insu, et cependant un instinct de vertu était effrayé. Tels étaient les combats qui l’agitaient quand Julien parut au jardin. Elle l’entendit parler, presque au même instant elle le vit s’asseoir à ses côtés. Son âme fut comme enlevée par ce bonheur charmant qui depuis quinze jours l’étonnait plus encore qu’il ne la séduisait. Tout était imprévu pour elle. Cependant après quelques instants, il suffit donc, se dit-elle, de la présence de

Quand l’affreuse idée d’adultère et de toute l’ignominie que, dans son opinion, ce crime entraîne à sa suite lui laissait quelque repos, et qu’elle venait à songer à la douceur de vivre avec Julien innocemment, et comme par le passé, elle se trouvait jetée dans l’idée horrible que Julien aimait une autre femme. Elle voyait encore sa pâleur quand il avait craint de perdre son portrait, ou de la compromettre en le laissant voir.

Pour la première fois, elle avait surpris la crainte sur cette physionomie si tranquille et si noble. Jamais il ne s’était montré ému ainsi pour elle ou pour ses enfants. Ce surcroît de douleur arriva à toute l’intensité de malheur qu’il est donné à l’âme humaine de pouvoir supporter. Sans s’en douter, Mme de Rênal jeta des cris qui réveillèrent sa femme de chambre. Tout à coup elle vit paraître auprès de son lit la clarté d’une lumière et reconnut Élisa.

Le Lorem Ipsum

Vous connaissez le Lorem Ipsum ? Ce faux-texte en latin qu’on utilise sur des sites/applications quand on n’a pas le texte final. Je l’utilise beaucoup moi, énormément.

Je l’aime bien d’ailleurs. Enfin, pas le texte vide de sens, mais plutôt son origine. Le Lorem Ipsum est tiré d’un autre livre, réel celui là: « De finibus bonorum et malorum » publié par Cicéron, en 45 avant J.C.

La traduction du titre en Français aussi est plutôt cool: « Des suprêmes biens et des suprêmes maux« .

Mais ce que j’adore le plus dans le De finibus, c’est un de ses passages.

Neque porro quisquam est qui dolorem ipsum quia dolor sit amet, consectetur, adipisci velit…

De finibus bonorum et malorumCicéron

Il n’y a personne qui n’aime la souffrance pour elle-même, qui ne la recherche et qui ne la veuille pour elle-même…

De finibus bonorum et malorumCicéron

Je le trouve vraiment très beau. Aucune raison particulière je dirai. J’aime juste le passage.

Pouvoir appeler nos objets perdus

Pouvoir appeler nos objets perdus.

Est ce qu’il vous arrive aussi de chercher un objet pendant trèèès longtemps pour finalement le retrouver dans un endroit anodin ou totalement banal ? Ça peut être une clé, un portefeuille, un stylo, etc…

Moi ça m’arrive. Beaucoup trop ????. Et dans ces situations, je me dis que ce serait cool si on pouvait appeler ces objets, et ils sonneraient. Un peu comme un téléphone. Je sais, je sais, j’ai toujours des idées bizarres.

Pour d’autres applications super utiles, vous pouvez lire cet article que j’ai écrit en Mars dernier.


Note écrite initialement en Anglais ici. Je me suis rendu compte qu’elle était toujours épinglée dans Keep (j’épingle mes idées de notes dans l’application et les désépingle après les avoir draftées ou publiées). Du coup je me suis dit que ce serait une bonne idée de mettre cette version.


Image mise en avant par Negative Space sur Pexels.

To be able to call our lost things

To be able to call our lost things.

Do you also sometimes look for an object for a very long time and finally find it in a harmless or totally banal place? It can be a key, a wallet, a pen, etc…

It happens to me. Too much ????. And in these situations, I think it would be cool if we could call these objects, and they would ring. Kind of like a phone. I know, I know, I’m still getting weird ideas.

For other super useful apps, you can read this article I wrote last March.


Photo by Negative Space from Pexels.

Justin ❤️ Excalidraw

Je découvre Excalidraw aujour’dhui, et je suis très impressionné par cet outil.

Excalidraw est un whiteboard qui permet de dessiner facilement des diagrammes au toucher de la main.

Il a très bien fonctionné sur mon ordinateur; et je me dis que l’expérience doit être encore plus agréable sur une tablette avec un pencil.

La question que je me pose maintenant, c’est:

Comment j’ai fait pour ne pas connaître cet outil plus tôt ?