The Night Is Still Young

Disons que je m’amuse bien ces derniers jours. J’en profite pour mettre un peu d’originalité dans mes #DailyNotes.

The Pinkprint est l’un de mes albums préférés.

Je me fais souvent des références avec les titres de l’album. Et ce soir, je n’arrive pas à trouver le sommeil.

Donc

The Night Is Still Young

Nicky Minaj

The sky is not my limit

Pour cette #DailyNotes, j’ai voulu me laisser un message en guise de rappel.

Je n’ai pas le droit de stagner. Encore moins d’abandonner. J’ai une dette envers moi même et je compte bien la solder.

La fille aux lunettes

Je n’en reviens pas que j’écris sur ce sujet.

Donc la fille aux lunettes, parlons-en. Je crois que j’ai merdé. Mais vraiment quoi. Complètement.

But she’s so cool. Mais bon. That’s life.

End !

Can’t wait mummy

Une longue année s’est écoulée depuis que j’ai vu maman pour la dernière fois. Dans une semaine, à pareille heure, je serai probablement en route pour Parakou.

Je ne puis m’empêcher d’imaginer comment ça va se passer quand je rentrerai. J’ai déjà un scénario en tête.

Normalement, on devrait être à Parakou aux alentours de 4h du matin. Une fois arrivé à la maison, j’appelle papa qui vient m’ouvrir. On se salue brièvement (Va t’il me prendre dans ses bras ? ? On verra bien).

Mes petites sœurs seront probablement en train de dormir.

Je dépose mes valises, et direction la chambre de mummy. Je toque légèrement. Elle ne va probablement pas se réveiller. J’ouvre, j’entre, je marche sur la pointe des pieds et je m’assieds sur le bord de son lit. Elle se retourne et s’étire, mais ne se réveille toujours pas.

Je lui tapote légèrement la main pour la réveiller, et je fais mon plus beau sourire. Elle ouvre lentement les yeux, me regarde, les frotte pour s’assurer qu’elle ne rêve pas.

Là, elle se lève en sursaut, saute autour de mon cou, et me fait ce gros câlin qui me manque tellement. Et elle s’écrie : Mon mari est rentré. Elle s’arrête pour me contempler, met ses mains sur ses hanches et dit : « Tu as grandi hein. Mais tu es bien maigre dis donc. Tu ne manges pas à Cotonou ? (j’aurais fait ma mine furieuse si c’était quelq’un d’autre, mais à toi maman, je pardonne tout) ».

Après, elle voudra probablement que je lui raconte sur le coup tout. Et là je fais ma tête et ma moue de gros bébé : « Tu sais mummy, le voyage a été long. Et je suis fatigué. Je vais me coucher ». Pas que j’ai pas envie qu’on parle hein, mais il faut quand même que je me fasses un peu désirer nan ?.

Allez, c’est tout. J’ai trop hâte mummy. Tu me manques tellement ❤️.

Les collègues, ça peut être super parfois

Aujourd’hui on a fait un secret santa au travail. L’idée c’était, choisir une personne au hasard, et lui faire un cadeau. La personne choisie ne savais évidemment pas qui lui offrait le cadeau jusqu’au déballage.

Là il fallait deviner qui c’était.

J’ai vraiment trouvé ça super. C’est la première fois pour moi, un secret santa au travail.

Tous ces moments vont me manquer.

Flip the coin

Plus jeune on (je) pensait (s) que dans la vie, tout n’était que bon ou mauvais, que blanc ou noir. Avec le temps, on se rend compte qu’il y aussi des nuances. Et de ce qu’on pensait être bon ou non, l’était dans un contexte donné.

Il faut toujours soulever la médaille, pour voir son revers (là je déforme un peu l’adage populaire ?). Et apprendre à accepter et à comprendre les choix des autres.

I miss you so much Leslie ❤️☹️

J’aimerais avoir une fille, qui s’appellera Leslie.
C’est un peu mon rêve, si jamais je décide d’être père.


Leslie. C’est l’un des très rares sujet que mes parents, mon frère et mes sœurs n’ont jamais réussi à aborder avec moi. Je me réfugie systématiquement dans un mutisme qui dure des jours entiers quand l’un d’eux décide d’aborder la question.

Ça va faire dans quelques jours 3 ans que Leslie est partie. Partie pour ne jamais revenir.

On s’écrivait toujours par email. C’est drôle, en fait. On vivait dans la même maison, mais pour se parler, on s’envoyait des mails. De longs mails où on se racontait les derniers livres qu’on a lus, nos persos préférés ; on s’insultait aussi, beaucoup. Je crois que tu n’as jamais voulu avouer que j’étais ton préféré, donc tu préférais jouer à la dure.

Je continue de t’envoyer régulièrement des mails plusieurs fois par mois depuis que tu es partie (ta boîte mail doit être pleine à craquer maintenant). Pour te demander comment tu te portes là-haut, ce que tu fais, et si tu as finalement réussi ce gâteau au citron que tu ne faisais que rater. T’étais tellement nulle en cuisine Leslie, mais tu voulais quand même devenir pâtissière.

Tu ne réponds pas à mails, mais je ne t’en veux pas Leslie. Tu dois être très occupée là haut. Et peut être que tu t’es fait de nouveaux amis. Tu es si géniale et gentille que ça ne me surprendrait pas.

Tu sais, beaucoup de choses ont changé depuis que tu es partie. Papa est devenu de plus en plus mélancolique. Ce sourire éternel sur les lèvres de maman s’est progressivement effacé. Ils ont voulu qu’on en parle, mais j’ai toujours refusé. Ça va faire un an que je ne les ai pas vus. Maman m’appelle souvent, trop souvent. Je réponds à un de ses appels sur trois.

Je retourne les voir en congés dans deux semaines. Dois-je les passer un bonjour de ta part ?

Je suis soulagé d’avoir pu coucher ces lignes. Ah tiens j’allais oublier. Quand t’auras un bout de temps, tu pourrais jeter un coup d’œil à mon site, et à mes #DailyNotes. J’y raconte tout ce qui me passe par la tête.

Tu disais que j’ai des intonations de poète dans la voix quand je parle. Peut-être que mes notes te feront changer d’avis ? (je suis un piètre écrivain, encore moins un poète).

I miss you so much ❤️.

Bye.

Quand dire non devient salvateur

Je me suis embourbé depuis un peu plus d’un an dans une « relation » plutôt atypique. Géniale, mais atypique. À laquelle j’ai été sur le point de totalement succomber. À plusieurs reprises.

En fait, l’honneur de ne l’avoir pas fait ne me revient pas. Je dois plutôt cela à des concours de circonstances tellement impressionnants. Je pense que ces situations ont une cause. Qu’elles sont survenues pour me rappeler que toutes les bonnes choses ne font pas du bien.

Quand dire non devient salvateur.

Pas totalement vrai dans mon cas

Et que parfois, le bonheur, ce n’est qu’un volcan enseveli sous une couche fragile de neige. Un volcan qui n’attend qu’un moindre pas de travers pour déverser toute sa fureur sur les imprudents humains qui ont eu l’audace de le côtoyer de trop près.

Ceci n’est pas une confession amoureuse ?. Encore moins une soliloque désespérée. Mais plutôt les phrases d’une personne ayant appris à ses dépens à être réaliste, pragmatique, et à avoir les pieds sur terre.

Ciao Justin (talking to myself now ??‍♂️). Et à demain pour de nouvelles aventures.

#DailyNotes n°53, je suis plus que content aujourd’hui.

En attendant demain

J’étais censé faire pour ce numéro 50 de mes #DailyNotes un super long post technique sur un sujet qui me passionne vraiment.

Alors je l’ai écrit le post (sur Keep depuis mon téléphone). Mais je suis grave flemmard ce soir (encore ??‍♂️). Flemme de le copier sur le PC, faire les corrections, insérer les liens et autres ressources nécessaires pour le post.

That said, ça fait demain. Pauvre numéro 50. Désolé ?.

Flemme

Je suis un gros flemmard aujourd’hui. La #DailyNotes sera donc très courte. J’en profite pour me féliciter d’en avoir écrit 49.

Demain c’est le numéro 50. Et je vais écrire un super article technique qui me fait moi même déjà sourire.