Se faire plaisir

Il y a quelques semaines, j’écrivais « I choose happiness » dans lequel je parlais de ma décision de choisir mon bonheur personnel au détriment de la satisfaction d’autrui.

Aussi loin que je me rappelle, j’ai toujours était un « solitaire ». J’ai appris à aimer le fait d’être seul, loin des yeux et des regards du monde. En fait je l’ai toujours été.

Une chose qui m’est apparue évidente dernièrement, c’est que je n’avais pas compris la valeur de s’aimer soi même. La valeur de se chérir, de se faire plaisir.

Mais ça reste quand même quelque chose de génial. Quelque chose de super. Une expérience dont j’aimerais profiter pleinement maintenant.

Et puis m*

Je crois que j’ai fait la plus grosse erreur de ma vie hier soir. Les conséquences pourraient être désastreuses. Très désastreuses.

Comme il pourrait aussi ne pas avoir de conséquences.

Mais flemme, qu’est ce qui a bien pu me prendre ?

Attendre c’est dur

Attendre c’est dur.

Surtout quand on a placé tous ses espoirs dans le résultat (positif) de cette attente. Je suis un peu égoïste de dire ça. Je n’attends que depuis hier soir.

Mais j’y crois. Vraiment. Beaucoup. J’attendrai encore. Tant qu’il faudra. Je ferai les efforts qu’il faudra. Les sacrifices qu’il faudra.

Garder ses rêves dans un sac

Mes rêves représentent l’un des biens les plus précieux que j’ai. Je les chéris, je les entretiens. Je les ressasse.

Je n’ai pas (encore) pu réaliser certains d’entre eux. Il y a quelques années, je voulais être astrophysicien. Avant écrivain. Avant encore philosophe.

Ces rêves ne se sont pas évaporés. Je les garde quelque part, dans un coin de ma tête. Ou de mon sac. Au fond de mon #IrawoDreamBag.

Je sais que tu es un gentleman

J’ai dit aujourd’hui à une amie que j’allais à une date demain soir. Elle était toute excitée et contente pour pour moi.

Puis d’un coup, elle m’a demandé :

Tu sais comment te comporter envers une fille à un date non ? De toute façon, je sais que tu es un gentleman.

J’espère que tu as raison. Je ne saurai le dire moi même si j’ai les bonnes manières ou pas. En général, j’ai toujours l’impression de foirer mes dates (enfin, pour les quelques uns que j’ai eu ?). J’espère que celui de demain se passera bien :).

Première bourde

Il est 23h59 ce mercredi 20 Novembre 2019 quand je commence à écrire cet article. Je ne le publierai donc que le 21 Novembre (je vais l’antidater toutefois). Première bourde donc. Après 35 jours je crois de #DailyNotes.

J’étais sur le point de m’endormir sans l’écrire. Faut dire que j’ai complètement oublié de le faire.

J’ai passé une partie de la soirée à l’Institut Français de Cotonou à une conférence sur l’utilisation des jeux (gamification) comme outil pour faciliter l’apprentissage; dans le cadre du Novembre Numérique.

J’y ai retrouvé deux personnes (amis) que j’ai côtoyées longtemps à Parakou, avant qu’on ne se perde de vue il y a un an. Faut dire que cela est arrivé d’une manière pas très cool. D’toute façon, j’ai été super content de les voir.

Allez hop, 00h11. Promesse honorée (ou presque). #DailyNotes n°35

Le meilleur rappel que j’ai eu aujourd’hui

Dans l’aprèm aujourd’hui, pendant que j’étais à ma pause, je suis tombé sur un tweet très intéressant; qui m’a tout de suite interpellé.

En gros l’auteur du tweet dit ceci:

Si quelqu’un demande quelque chose, faites une pause et réfléchissez-y. Pouvez-vous vous le permettre ?

S’ils veulent une réponse rapide, alors la réponse est non ! J’ai besoin de plus de temps pour y réfléchir.

Ne dites pas toujours oui parce que vous avez peur de ce qui pourrait arriver ou parce que vous voulez que les gens vous aiment.

Respirez

J’ai trouvé ce tweet tellement en relation avec certaines de mes aventures personnelles que j’ai écrit plusieurs stories sur WhatsApp pour en parler. Je résume ici ce que j’en ai pensé.

Parfois, les gens vous demandent des choses qu’ils ne vous demanderaient pas normalement; parce qu’ils savent que vous avez l’habitude de dire oui à tout. Et puis tu te retrouves à faire le travail de tout le monde; au point où tu n’as même plus de temps pour toi même.

Même si j’en ai la volonté, je ne peux pas donner une réponse positive à toutes les demandes que je reçois.

Ce n’est juste pas viable pour ma propre santé.

Regardez : si vous êtes si occupé que vous voulez que d’autres fassent certaines de vos tâches à votre place, ne pensez-vous pas que ces gens sont aussi occupés que vous ?

Pire encore, c’est quand, en plus de profiter de vous, certaines personnes sont prêtes à vous exploiter juste pour obtenir ce qu’elles veulent. C’est ce que j’appelle des relations toxiques et je me promets d’en sortir le plus vite possible.

Être une personne jeune et compétente ne signifie pas que vous êtes à la merci du premier venu.

Je ne veux plus qu’on abuse de moi. Je ne veux plus qu’on se foute de moi. Je ne veux plus être victime de discrimination en raison de mon jeune âge.

Ma réponse par défaut aux demandes a toujours été « oui, je verrai » et cela a toujours été une de mes faiblesses; et cela doit prendre fin.

La cure

Photo by Max van den Oetelaar on Unsplash


Trois fois par année, je fais une « cure » réseaux sociaux; et cela depuis 4 ans. La dernière que j’ai fait cela cette année date du mois d’août. Normalement je devais en faire une autre à la mi-décembre, celle qui serait aussi la dernière de l’année.

Mais certains événements ont précipité ce programme.

J’ai donc commencé ma déconnexion hier soir. Ce sera donc 7 jours sans Twitter (le plus dur actuellement), sans Facebook (trop facile), sans Instagram (les stories de Mylène Flicka, de Maureen Ayité et de Yanick Folly vont me manquer).

J’ai désactivé mes comptes Twitter, Insta et Facebook hier et désinstallé les applis de mon téléphone. J’aurais aimé faire pareil avec WhatsApp, mais on l’utilise plutôt régulièrement au travail pour certaines conversations.

Je laisse aussi Facebook Messenger parce que je l’utilise avec mon zém qui m’amène au travail et me ramène les soirs à la maison.

Ce soir j’ai été tenté de me connecter à Twitter. J’ai téléchargé l’application, réactivé mon compte, puis je l’ai désactivé juste après. J’ai honte d’avoir fait ça.

En fonction de comment je me sentirai après les 7 jours, donc lundi prochain, j’aimerais continuer la cure plus longtemps. Mais on verra ça en temps voulu.


EDIT

Aujourd’hui Vendredi 15 Novembre, il est 11H43, je suis sur le point de prendre ma pause. Et je crois que je vais réactiver Twitter. Cette cure semble être un échec.

La boucle

En programmation informatique, la boucle est une structure de contrôle qui permet de répéter l’exécution d’une séquence d’instructions un certain nombre de fois et/ou sous certaines conditions.

Il arrive des fois qu’une boucle soit infinie, c’est à dire qu’elle s’exécute sans fin. Cela peut être provoqué à dessein ou être le fait d’un programmeur qui a mal formulé son algorithme.

Dans l’un ou l’autre des cas, la boucle infinie peut s’avérer être une source de gros plantages dans les logiciels.

Je n’aime pas les boucles infinies non désirées.


Photo by Tine Ivanič on Unsplash

Nous changeons

Les Hommes changent.

Cet après midi, j’ai déjeuné avec deux amis. On a eu une discussion plutôt passionnée à propos de questions de vie en couple.

En gros, nous ne trouvions pas un consensus sur la manière dont deux conjoints devraient contribuer aux dépenses de chacun d’entre eux; pour les frais de soins de santé par exemple.

Bien sûr, j’étais partisan des « idées modernes » dans la discussion. Je défendais la parité, l’égalité, la contribution volontaire mais non obligatoire, etc…

Mais la leçon que j’ai tirée de cette discussion, c’est que les humains sont sujets au changement. Inévitablement. Nos principes, nos ambitions, nos désirs, tout cela est sujet au changement. Et ces changements influencent grandement nos choix de vie.

Ma conception de la famille, de moi même, de mes rêves, des finances, du travail, de la vie il y a cinq ans n’est pas exactement la même que celle que j’ai aujourd’hui.

Nous changeons. Inévitablement. Du moins, certaines parties de nous le font.