Le parapluie ☂️

Le parapluie ☂️

Depuis quelques semaines une question me tourmente l’esprit. Et si on me demandait de choisir un objet et un seul avec lequel je me retrouverais dans un désert, que choisirais-je?

À chaque fois que j’y pense j’ai envie de dire : un parapluie. Je ne sais absolument pas pourquoi j’ai envie de partir dans un désert avec un parapluie ?. Alors que j’aurai plus besoin d’une bouteille d’eau, d’une brosse à dent, de ma canne à selfie ou de mon téléphone portable avec un connexion 5G, mais sans le chargeur ??‍♂️!

Peut-être à cause de la sensation de protection que procure un parapluie ? Quand je suis en dessous, j’ai l’impression que rien ne peut plus m’atteindre. Que je peux lutter contre vents et marées, et m’en sortir sans une seule égratignure.

Alors c’est décidé ! Je partirai avec mon parapluie.


Photo by Eunice Stahl on Unsplash

Sans pressions

Image en avant par MI PHAM on Unsplash


Les pressions, le stress qu’on peut ressentir dans la vie quotidienne ne sont pas forcément dus à une charge élevée de travail. Pas forcément non plus à cause de problèmes personnels ou autres.

Il arrive que nous nous mettons nous même de la pression, sans que cela ne soit toujours nécessaire.. Et celle ci nous donne l’impression que nous sommes toujours dans des situations critiques.

La vie, c’est long. Vivre c’est beau. C’est important de prendre les choses du bon côté. D’apprécier chaque moment, à sa juste valeur, qu’il soit bon ou pas.

Les opportunités ça va ça vient

Les opportunités ça va ça vient, et il faut savoir les saisir (ou pas) en fonction du moment, de la situation ou du contexte.

On en apprend beaucoup (sur le monde professionnel) quand on est aux côtés des bonnes personnes.

Parfois des occasions qui nous semblent extraordinaires ne sont pas forcément celles qui nous aiderons le plus. Parfois, c’est celles qu’on méprise presque qui sont les meilleures.

Il faut juste voir au delà des outputs immédiats que nous procurent les opportunités qui se présentent à nous.


Image mise en avant par Braden Collum sur Unsplash

À qui profite le crime ?

À qui profite le crime ?

Je suis un grand fan de littérature policière, science fiction et fantastique. Je collectionne des Jules Verne, j’adore Sir Arthur Conan Doyle, je suis fan de Maurice Leblanc. Edgar Poe me fait rêver.

J’aime la galanterie de Arsène Lupin, l’excentricité du professeur Otto Lidenbrock, le flegmatique Hans me semble être un homme génial, le pragmatisme du docteur Watson est légendaire.

J’aime l’énergie de Sherlock Holmes quand il essaie de résoudre des énigmes, et surtout, j’aime quand il lance « À qui profite le crime ».


Image mise en avant par Joseph Pearson sur Unsplash

Ces personnes avec qui travailler devient cool

Photo by Carl Heyerdahl on Unsplash


Depuis un peu plus d’un mois, je travaille en indépendant avec Emmanuelle Bouiti sur un de ses projets personnels. Principalement des tâches de développement spécifique.

Emmanuelle est responsable de l’accélération et de l’incubation à EtriLabs; la boîte où je travaillais avant de rejoindre Sèmè City il y a un peu moins de trois mois.

À EtriLabs, nous ne nous voyions pas souvent et n’étions pas vraiment proches ; vu qu’on était dans des départements différents et aussi sur des sites différents de la société.

Je puis dire que Emmanuelle est la personne la plus cool avec qui j’ai eu à travailler en tant que développeur indépendant.

Merci Emmanuelle de m’avoir fait apprécier à nouveau cela.

Tout est si calme

Photo by Jakub Sofranko on Unsplash


Aujourd’hui, je me réveillé plus tôt que l’heure à laquelle j’avais prévu de le faire. Aucune tâche en vue que j’ai besoin de faire maintenant

Quand une situation pareille m’arrivait avant, je passe les heures qui me séparent du crépuscule à squatter sur internet et sur les réseaux sociaux. Je peux pas faire ça maintenant puisque depuis dimanche dernier, c’est la cure.

J’en profite donc pour écouter la nuit. C’est si calme, si noir, si apaisant. Le silence de la nuit n’est troublé que par des criquets, quelques oiseaux nocturnes, et ma respiration que j’entends clairement.

Je repense à plein de choses. Bonnes, mauvaise, heureuses, ou pas.

Il fait nuit, il fait noir, tout est si calme, et mon âme est apaisée.

J’ai terminé l’écriture de cette note à 4h51, je n’ai pas vraiment envie de la publier maintenant. Je ferai cela un peu plus tard. Probablement avant de descendre de mon lit. Ou pas.

La cure

Photo by Max van den Oetelaar on Unsplash


Trois fois par année, je fais une « cure » réseaux sociaux; et cela depuis 4 ans. La dernière que j’ai fait cela cette année date du mois d’août. Normalement je devais en faire une autre à la mi-décembre, celle qui serait aussi la dernière de l’année.

Mais certains événements ont précipité ce programme.

J’ai donc commencé ma déconnexion hier soir. Ce sera donc 7 jours sans Twitter (le plus dur actuellement), sans Facebook (trop facile), sans Instagram (les stories de Mylène Flicka, de Maureen Ayité et de Yanick Folly vont me manquer).

J’ai désactivé mes comptes Twitter, Insta et Facebook hier et désinstallé les applis de mon téléphone. J’aurais aimé faire pareil avec WhatsApp, mais on l’utilise plutôt régulièrement au travail pour certaines conversations.

Je laisse aussi Facebook Messenger parce que je l’utilise avec mon zém qui m’amène au travail et me ramène les soirs à la maison.

Ce soir j’ai été tenté de me connecter à Twitter. J’ai téléchargé l’application, réactivé mon compte, puis je l’ai désactivé juste après. J’ai honte d’avoir fait ça.

En fonction de comment je me sentirai après les 7 jours, donc lundi prochain, j’aimerais continuer la cure plus longtemps. Mais on verra ça en temps voulu.


EDIT

Aujourd’hui Vendredi 15 Novembre, il est 11H43, je suis sur le point de prendre ma pause. Et je crois que je vais réactiver Twitter. Cette cure semble être un échec.

La boucle

En programmation informatique, la boucle est une structure de contrôle qui permet de répéter l’exécution d’une séquence d’instructions un certain nombre de fois et/ou sous certaines conditions.

Il arrive des fois qu’une boucle soit infinie, c’est à dire qu’elle s’exécute sans fin. Cela peut être provoqué à dessein ou être le fait d’un programmeur qui a mal formulé son algorithme.

Dans l’un ou l’autre des cas, la boucle infinie peut s’avérer être une source de gros plantages dans les logiciels.

Je n’aime pas les boucles infinies non désirées.


Photo by Tine Ivanič on Unsplash

Trop vite, trop tôt ?

J’ai parfois l’impression que j’aspire très jeune à des choses qui ne sont accessibles qu’à des personnes beaucoup plus âgées que moi.

Juste en début de ma vingtaine, mes ambitions professionnelles pour maintenant sont celles de personnes dont le nombre d’années d’expérience est supérieur à mon âge.

Et quand j’essuie un échec en tentant d’accéder à ces sphères, je m’en veux; parce qu’à mon avis je n’en fais pas assez. C’est sûrement le cas. Je dois faire mieux. Beaucoup mieux.


Photo by Ocean Ng on Unsplash

Let’s do it again

Last night, I slept for about 9 hours. I can’t remember the last time I did it before that.

I had the most beautiful day of the week today.

I should do this more regularly.


Photo by Ocean Ng on Unsplash