Coucou les fragiles
Prière ne pas prendre cette note trop au sérieux (quoique).
Il y a tellement longtemps que j’ai envie d’écrire ceci que je ne puis m’empêcher de sourire maintenant que j’ai commencé.
Ça fait maintenant un an (il y a quelques jours) que je vis à Cotonou. Avant ça, j’ai passé la grande partie de ma vie à Parakou.
J’ai donc été très très surpris quand, dès le mois de novembre, les autochtones (j’entends par là les personnes ayant passé la grande partie de leur vie à Cotonou) se sont presque unanimement mis à se plaindre de l’harmattan.
J’étais ????♂️???♂️. Le truc, c’est qu’il n’y a pas d’harmattan à Cotonou. Enfin, pas de vrai harmattan avec ses rafales sèches, cinglantes et froides de vent qui te glacent les os.
Donc, chers amis les fragiles, désolé, mais non.