It sounds better in English

I start some of my #DailyNotes posts in French. Then, before publishing, I say to myself: It sounds better in English ?.

So, I translate and publish it in English. It’s weird, I know. I don’t know the exact reason yet.

I guess, among other things, I feel it’s more « secure » for me to write some things in English rather than in French.

Plus de longs posts à reporter au lendemain

Bon, maintenant on est d’accord. Je suis un gros flemmard. Depuis que j’ai commencé mes #DailyNotes, à deux reprises j’ai fait un post que je me suis promis de continuer le lendemain.

Résultat ? Nada. Conclusion ? Justin est un gros flemmard. Autre conclusion ? Quand tu commences un post, aussi long qu’il soit, tu le termines. En une fois.

Si pas possible de le faire en une fois, et bien, tu le laisses en brouillon jusqu’à ce que t’aies terminé.

Pigé ? Bien.
Bonne nuit et à demain.

Est ce que je stagne ?

Depuis quelques mois, j’ai l’impression d’en être à un point mort. Je crois avoir perdu au fil du temps l’excitation que je ressentais à faire ce que je fais.

Certes je continues d’être très passionné par mon job (enfin, mon domaine de compétences principal), mais je ressens clairement que j’ai envie de plus. J’ai besoin de plus.

J’ai envie de challenges nouveaux, excitants. J’ai besoin de ressentir à nouveau ce plaisir de créer. Par dessus tout, j’ai envie d’étendre, d’élargir mon « scope ».

Au cours des mois, j’ai essayé plusieurs trucs. J’ai tenté de m’approprier d’autres technologies, d’apprendre de nouvelles compétences autres que la programmation et le développement.

Je ne saurais dire si je suis juste las, ou si j’ai besoin de changer d’environnement.

La cure

Photo by Max van den Oetelaar on Unsplash


Trois fois par année, je fais une « cure » réseaux sociaux; et cela depuis 4 ans. La dernière que j’ai fait cela cette année date du mois d’août. Normalement je devais en faire une autre à la mi-décembre, celle qui serait aussi la dernière de l’année.

Mais certains événements ont précipité ce programme.

J’ai donc commencé ma déconnexion hier soir. Ce sera donc 7 jours sans Twitter (le plus dur actuellement), sans Facebook (trop facile), sans Instagram (les stories de Mylène Flicka, de Maureen Ayité et de Yanick Folly vont me manquer).

J’ai désactivé mes comptes Twitter, Insta et Facebook hier et désinstallé les applis de mon téléphone. J’aurais aimé faire pareil avec WhatsApp, mais on l’utilise plutôt régulièrement au travail pour certaines conversations.

Je laisse aussi Facebook Messenger parce que je l’utilise avec mon zém qui m’amène au travail et me ramène les soirs à la maison.

Ce soir j’ai été tenté de me connecter à Twitter. J’ai téléchargé l’application, réactivé mon compte, puis je l’ai désactivé juste après. J’ai honte d’avoir fait ça.

En fonction de comment je me sentirai après les 7 jours, donc lundi prochain, j’aimerais continuer la cure plus longtemps. Mais on verra ça en temps voulu.


EDIT

Aujourd’hui Vendredi 15 Novembre, il est 11H43, je suis sur le point de prendre ma pause. Et je crois que je vais réactiver Twitter. Cette cure semble être un échec.

Let’s do it again

Last night, I slept for about 9 hours. I can’t remember the last time I did it before that.

I had the most beautiful day of the week today.

I should do this more regularly.


Photo by Ocean Ng on Unsplash

Experience (almost) always wins over talent (?)

How much easier could an extremely talented software engineer solve engineering problems compared to someone else with a very huge experience? This is a question I ask myself quite regularly.

My small experience in the field has pointed out to me that the most experienced people generally have a global perspective on problems. They think less about tools and more about the system in general. They are more abstract in their analysis.

The less experienced but talented rely on the strength of tools or technologies. Sometimes it works. Often. But sometimes it creates more issues.

I believe that the ability to think beyond a concrete (visible) system is acquired over time, through repeated mistakes.

I have learned to enjoy working with more experienced people. It is really an interesting exercise to follow them in their reflection processes.

Being open to new things

Two qualities that I think super useful for a software engineer are their ability to be agile and proactive in the environment they evolve in.

I have been working for a few months now in one of the largest public administrations in my country. And I understood that what is expected from an « IT Guy » is not the number of technologies he masters, but his ability to provide accessible solutions for concrete needs.

I learned that you have to be able to see beyond the tools and think more about the « process« . I also learned that reinventing the wheel is not necessary in most cases and that the solution can be found right in front of our eyes.

Beyond all this, I have learned that you have to be ready to learn, to be « permeable to new things ».

I don’t remember exactly where I saw that sentence, but it comes very appropriately here:

Tools are tools, don’t be one