C’est bon pour le bénef si t’aime la chanson

J’ai beaucoup écouté Vald à une période de l’année dernière. En fait, je ne le connaissais pas du tout avant ce moment là.

Et j’ai super kiffé son album « Ce monde est cruel« .

Aujourd’hui, je suis retombé sur une de ses chansons dans une de mes playlists; et ça ravivé ces jolis souvenirs ????.

Ces petits plaisirs qui nous donnent le sourire

Je connais au moins deux personnes qui lisent mon blog, régulièrement, quotidiennement. L’une d’entre elles vient de me dire

« I read your blog more than you J ».

A good friend of mine

J’ai souri ?.

Je leur suis particulièrement reconnaissant pour ça. Quand en Octobre 2019 j’ai décidé de commencer cette aventure d’écriture quotidienne, c’était d’abord un challenge que je me lancais à moi même. C’était une manière pour moi de coucher mes journées. Pour moi.

Et c’est depuis une extraordinaire aventure. Comment je fais pour continuer ? Tout simple. Je ne me mets absolument aucune pression quant à ce que je dois écrire, quelle taille cela doit avoir, où si ce que j’écris est bon ou mauvais.

Ce soir c’est donc une belle soirée, et je souris ?.

Master of None

Master of None

Je me demandais bien où j’ai vu ou entendu cette phrase.

Et bien c’est sûrement en scrollant mon feed Netflix.

Et elle m’est bien resté dans la tête parce que je ne faisais que me répétér cette phrase dans la tête.

Les ai-je trahis ?

Depuis quelques années, j’ai perdu de vue la plupart des personnes avec qui j’ai longtemps partagé des moments extraordinaires. Certains sont des amis, d’autres des mentors, d’autres beaucoup plus. Et j’ai souvent l’impression que je les ai trahis.

Je sais, ça peut paraître ridicule dit comme ça. Parfois, je n’arrive toujours pas à garder le contact avec les personnes avec qui je voudrais. Que ce soit à cause du travail, d’autres occupations ou simplement parce que j’ai souvent trop la flemme.

On dit que quand une personne compte pour nous, on a toujours le temps pour cette personne. Donc je me sens coupable quand je m’éloigne des personnes qui comptent pour moi.

Je ne suis qu’un zombie

Je ne suis qu’un zombie

Ça fait un peu plus de 6 mois que je travaille à l’ADSC. Aujourd’hui, j’ai pris ma première tasse de café depuis que je suis là. Juste pour illustrer à quel point j’ai pu le faire sans en prendre jusque là.

Par contre, là je crois que j’ai poussé mon petit corps à bout. J’ai dormi cette nuit pour ma durée habituelle; j’ai même fait 30 minutes de plus sur le lit. Mais je me suis réveillé aujourd’hui avec une énorme sensation de déconnexion de la réalité.

Comme un zombie ?. J’avais le sentiment d’être là, et pas là en même temps. Il me faut clairement me reposer plus.

Ces chansons qui touchent l’âme

Ces chansons qui touchent l’âme

Il y a de ces chansons que l’on entend une fois et qui nous marquent beaucoup. Des chansons qui touchent l’âme.

Il y a quelques semaines, j’ai vu sur la story WhatsApp d’une amie cette chanson de Rosny Kayiba

J’ai tout de suite été touché après avoir écouté les 30 premières secondes. En gros, dans la chanson, elle remercie son meilleur ami (Jésus-Christ) pour ce qu’il a fait dans sa vie.

Je ne me revendique plus croyant, pratiquant ou appartenant à une quelconque profession religieuse. Mais on va dire que j’ai plutôt un faible pour les chansons avec des airs de mélancolie ou de nostalgie. Et celle-ci en est une qui colle parfaitement à ce registre.

Accord n°4: Ne faites aucune supposition

Accord n°4: Ne faites aucune supposition

Un collègue m’a récemment parlé des 4 accords toltèques. C’est un ensemble de 4 principes visant à briser nos croyances limitatives.

Le quatrième principe s’énonce ainsi:

Ne faites aucune supposition.

Il invite à éviter de ce faire des idées, hypothèses sur ce que les autres pensent de nous. Ces hypothèses n’étant que le résultat de nos pensées, et ne reflétant pas exactement la réalité.

Je n’éteins plus quand je dors

Étrange, je sais. Ça fait plus d’un mois déjà que je n’éteins plus les lumières quand je dors.

Habituellement, j’arrive à m’endormir facilement dans le noir. Mais depuis quelques temps, cela devient de moins en moins évident.

Je ne pense pas qu’il y ait une raison particulière à cela, une peur ou un autre sentiment de la sorte.

Mange la peur, c’est du maïs

Mange la peur, c’est du maïs

Irawo Taka

Je me suis inscrit il y a quelques semaines pour le Irawo Taka. J’étais déjà tout excité à l’idée de commencer le programme; est je le suis encore plus maintenant.

J’ai toujours eu des craintes, des doutes et des appréhensions qui contribuaient de fait que j’ai peur de faire certaines choses. Maintenant, je sais que c’est tout à fait légitime d’avoir peur. C’est une émotion tout à fait naturelle.

L’exploit réside dans le fait d’arriver à les surmonter, et à les transformer en forces. Évidemment, ce n’est pas quelque chose qui va arriver du jour au lendemain; juste en claquant des doigts.

Mais le seul fait de prendre conscience qu’on a peur, et que c’est normal est déjà une étape importante.

Comme on dit chez nous les Takas (oui, chez nous les Takas ?):

Mange la peur, c’est du maïs

Irawo Taka

J’en profite pour partager un titre que des camarades Takas m’ont fait découvrir, et que j’affectionne maintenant beaucoup.

Le corps humain est si fascinant

C’est génial de voir à quel point le corps humain peut comprendre, et s’adapter. C’est tout simplement fascinant.

Notre corps déclenche un mécanisme quand il sent qu’on l’a trop poussé à bout. Par exemple, lorsqu’on on manque cruellement de sommeil ou qu’on est extrêmement fatigué. Dans ces deux situations, il se met comme en mode veille.

Encore plus intéressant, notre corps est livré avec un système d’envoi de signaux sophistiqué et très efficace. Et c’est hyper intéressant de savoir les détecter et de les prendre en compte.