Focusing on what I can control

Focusing on what I can control

Today I read an article by Amin Lamoubariki on the precautions to be taken in relation to coronavirus 2019.

But, my post has nothing to do with the disease itself (although I am quite concerned about it). Rather, it has to do with something that Amin kept repeating in his article: you have to focus on the things you can control.

That sounds trivial when said like that. But not always. We tend to get frustrated with things that happen to us, but that we can’t control. Instead, we need to learn to put things into perspective and keep a Zen attitude ?.

I love with what I do

In love with what I do

Today, like most days at work, it was a day that went by very quickly. This is possible because I usually work on exciting projects that challenge me. Basically, I’m in love with what I do.

I think that’s a very important factor in our productivity and our fulfillment as human beings.

Finding the right balance

When we are passionate about what we do, we can very quickly find ourselves getting very involved in it; at the risk of our own health or well being. That’s why finding the right balance between work, private life, and personal well-being is important.

It seems obvious, when said like that in writing. But in reality, the line where we should stop can sometimes be so thin that it becomes almost invisible.

The most dangerous thing is that, because you’re doing something you love, you still don’t realize that you’re ruining your health and well-being. And when the time comes, it’s already too late.

Le Gendarme de Abobo

J’ai finalement vu « Le Gendarme de Abobo » en salle. Et j’ai A.DO.RÉ.

J’ai trouvé que Michel Gohou a super bien joué. Et l’histoire était plutôt bien ficelée. Bon quelques petites références limites polémiques que j’ai pas aimées ; mais à part ça c’est cool.

Par contre, je ne comprends pas toutes les critiques que le film reçoit. Enfin, je veux plus parler des critiques du genre: les roquettes étaient des jouets, les armes n’étaient pas vraies et tout.

Mais le truc c’est que ce n’est pas un film d’action. Ce n’est pas censé être plein de rebondissements et de suspense comme certaines grandes affiches de Hollywood.

C’est de l’humour, de la bonne humeur, du rire. Et puis il y a Gohou là dedans !!

Apprendre à sourire

Je me suis pris en photo hier matin. Puis j’ai gardé les photos que j’ai prises. C’est tellement rare que je fasse ça, que je suis moi même surpris de les avoir gardées.

Bref, ce n’est pas le sujet de cette note.

Le sujet, c’est plutôt que j’ai posté plus tard dans la journée la photo dans mes stories WhatsApp. Et là, plusieurs, mais vraiment plusieurs personnes m’ont demandées de sourire un peu plus.

Et là, je me suis rendu compte que je ne sais absolument, alors là absolument pas sourire. Ou plutôt, je ne sais absolument pas sourire quand je suis en face d’une caméra.

Ce que je veux dire, c’est qu’en face d’une caméra, ou même dans la vie quotidienne, je ne suis pas capable de produire un sourire sur demande. En fait, j’aurais pu intituler cette note Apprendre à sourire sur demande.

Les rares* photos de moi où je suis en train de sourire ou de rire ont été prises à mon insu.

Voilà celle que j’ai prise hier.

Apprendre à sourire

Et ici, au TEDx Ganhito en Novembre 2018.

Et celle là, pendant que j’enregistrais une vidéo pour un MOOC sur la science ouverte (l’image est extraite de la vidéo). Mon cher Tyck est l’excellent photographe qui m’a filmé ce jour là.

Ici, c’est au resto en début quand mon date m’a demandé (forcé ?) de sourire.

Vous voyez ?.


• Je déteste qu’on me prenne en photo. Vraiment. Quand la caméra est devant moi, j’ai comme le corps qui me gratte. Je ressens clairement un gêne. Et quand il y a d’autres personnes avec moi, je me mets systématiquement derrière.

Feeling good again

C’est tellement super de revoir la famille. Ça m’a beaucoup manqué ces moments.

Je suis content de revoir maman. De pouvoir avoir les longues conversations avec le paternel (il aime trop ça lui aussi ?).

Trop cool de pouvoir à nouveau taquiner les petites sœurs. Mon grand frère lui pourra pas rentrer pour les vacances.

It’s so good to be at home again :).

En fin de compte c’est plutôt cool

Je crois que ça va faire un peu plus de 70 jours que j’ai commencé mes #DailyNotes. Alors qu’au début, je faisais des efforts pour publier un article par jour, c’est devenu plus intéressant depuis.

Je trouve ça naturel. Agréable. Super. Je m’en rappelle systématiquement. J’adore cet exercice.

Je craignais au début d’être très vite à court de sujets sur lesquels écrire. Mais non. Certes il y a des jours où je galère un peu mais en général, ça vient tout seul.

Je ne réfléchis plus ou ne fournis plus de gros efforts mentaux. La majorité de mes notes, je les ai pondues en 4-7 minutes.

Et ça me rend heureux.

Maman je crois que je vais craquer

Hi mum. Tu te rappelles il y a quelques jours, je te promettais de passer te voir, en début de cette semaine. Ça aurait dû se faire aujourd’hui soir.

Finalement non, ça fera plutôt en fin de la semaine. Ce n’est pas de mon ressort. Tu sais que je prendrai le premier bus pour Parakou si cela ne tenait qu’à moi.

Peut être que c’est ce que je ferai finalement.

Bye.

Plus de longs posts à reporter au lendemain

Bon, maintenant on est d’accord. Je suis un gros flemmard. Depuis que j’ai commencé mes #DailyNotes, à deux reprises j’ai fait un post que je me suis promis de continuer le lendemain.

Résultat ? Nada. Conclusion ? Justin est un gros flemmard. Autre conclusion ? Quand tu commences un post, aussi long qu’il soit, tu le termines. En une fois.

Si pas possible de le faire en une fois, et bien, tu le laisses en brouillon jusqu’à ce que t’aies terminé.

Pigé ? Bien.
Bonne nuit et à demain.